La femme de Sanuk rode autour de mon bungalow. Quand j’en sors ou y retourne, elle est là, qui discute avec la logeuse en haut du chemin, ramasse le linge de mon voisin, bricole un vélo avec un jeune Thaï.
La nuit, je me réveille avec des images d’un réalisme déconcertant : chez Laure, une soirée avec ses enfants, un dîner avec ma mère et Pierre.
Jamais de cul. Jamais Lex ou Cyril. Une douce quiétude.
Comme on touche, finalement aux dernières phases d’une désintoxication.
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