La semaine est passée sans:
- un appel de ma mère
- un message de Goethe (vacances scolaires?)
- avoir à composer avec Thomas W sur ma ridicule attitude de la semaine passée.
Cette nuit, je faisais du stop, encombrée par une gigantesque caisse à hamsters de cirque, quand deux véhicules s’arrêtent. Le premier est un coupé sport, le second un van toutes vitres teintées. Qui ne vois-je pas descendre du premier : Sean Connery, époque beau gosse, costume parfait, foulard, barbe taillée, qui dans son plus bel anglais, me demande s’il peut m’aider. You bet ! De là, je suis sur une chaise type dentiste, une dizaine d’infirmières autour de moi, en vert comme dans les blocs opératoires aux Etats-Unis, masquées, lunettes translucides, charlotte en papier sur la tête. Elles s’en prennent à mes poils, mon teint, mon épiderme, les pores de ma peau, mes rides présentes et à venir, mes ongles cassants, ma peau morte et celle qui survit malgré ce que je lui inflige… L’une d’elle dit : c’est la drogue. Une autre, avec des airs de chef, rétorque : vous n’y connaissez rien, c’est le liquide séminal. Je reste parce que je sais que George Clooney ne devrait plus tarder.
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