Longue tchatche avec Nico, du soleil dans nos voix, et déjà des chapelets de projets et de fantasmes (Nico n’a jamais été un homme fidèle).
Relation virtuelle avec Goethe, moi devant le miroir de mon armoire, nue en talons comme l’autre soir. Une jolie quinzaine de minutes.
Au téléphone, Aurélie me demande comment mettre Mimi au pas. Il y a encore des choses qu’elle n’a pas comprises.
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