Une vingtaine de roses à Queen Lol.
Quant à Aurélie, il vaut mieux l’avoir à poil sur la table du salon que comme collègue. Du haut de ses six mois de CDI (et de ses 22 ans), elle réclame une stagiaire (A: la DRH, copie à : Carole), prétendant que «si tout le monde faisait son boulot», elle n’aurait pas ce genre de demandes. Elle m’a raconté ça en sortant, avec des airs de boss, la fille qui en a vu d’autres et qui ne va pas s’arrêter sur si peu. A la vérité, par ce genre de manœuvre:
1) elle attire l’attention de la DRH et des postes à responsabilités sur elle; elle est mignonne, aguicheuse ce qu’il faut, elle sème ses graines;
2) elle réduit à peau de chagrin Victoria, sa peu probable rivale, entrée en même temps qu’elle au même poste de documentaliste, et qui n’a rien écrit d’autres qu’une centaine de signes sur un gloss;
3) elle se positionne comme élément dangereux en passant directement par la case DRH et en court-circuitant Carole – qui aura certainement des comptes à rendre sur l’insubordination supposée de ses troupes.
Mauvaise, la gamine, et futée avec ça. A se demander comment elle serait si elle ne jouissait pas régulièrement par chacun des pores de sa peau.
(Une criminelle en puissance?)
Rapide dîner avec Audrey, excellents sushis à Opéra. « It's OK to eat fish 'Cause they don't have any feelings » (Kurt Cobain). Audrey toujours dans son histoire avec cet acteur solitaire qui lui préfère sa chienne épagneule et ses copains de billard. Affligeant. Potins de Libé sensiblement les mêmes que les nôtres. Cadre plus sympa, ceci dit.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire