Un joint avec Chic, chez lui, sas de décompression entre le boulot et ma sœur. Du monde : un photographe soucieux de son image, une jongleuse qui regarde ses balles avec des airs de Bernadette Soubirou en Pleine Ascension, un obsédé d’ordinateurs (ma vie, mon proce). J’ai l’impression d’être revenue dix ans en arrière, à Lille, chez un dealer rencontré en teuf : du passage, toute sorte de gens, avec, pour point commun, la dope – quelle qu’elle soit. Des joints, des bières – parfois un SB.
Je me penche pour fermer une fenêtre, et quand je me retourne, Chic est là, un pétard au bec, qui regardait mon cul. Pas de gêne, de la provocation.
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