Une vague d’une trentaine de mètres s’est figée au-dessus d’une ville du Far West où je me trouve. Quelques gouttes d’acide tombent de la vague, provoquant une panique monstre.
Avec Mado, les ruses habituellement réservées à Maman : pour la voir quand même un peu mais pas avoir la tête fracassée de ses histoires, des kilomètres de shopping – avec Mam, c’est plutôt musées mais ça revient au même. Et soudain, dans la minuscule salle fumeur d’un café : « Continue sans moi, Louna. Il faut que je pense à Milo. »
Ah d’accord.
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