Oui, ça va un peu vite, on a du mal à se lâcher. Il vient me chercher à Method, je le retrouve dans un bar, on traîne, on s’aime. Je ne dis toujours rien à ses mots doux. Comme la glace qu’on avait mangée chez Bertillon avant la soirée catastrophe, je déguste mon bonheur avec un sourire bouclier.
Décommandé la soirée de Natacha « Hot, before winter. » Avec soulagement.
Un mail de Chloé qui s’intéresse (sujet apparent) à mon devenir – comprendre, en sujet réel, les mouvements en interne à Method sur le mode «savoir ce qui se trame chez l’adversaire». «Il faut qu’on déjeune» et «bisous, bisous, je t’appelle.» Ce qui me laisse de la marge.
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