Dans la série anciennes du CFJ, Audrey démarre un projet de livre sur «les icônes de notre temps». Large corpus qui lui permet de naviguer dans le temps et dans l’espace. «Son» iconographe photographe, d’origine japonaise, demande à ce qu’on l’appelle Jean pour des raisons de prononciation de son prénom original. Ce qu’elle trouve choquant, et envisage d’apprendre des rudiments de japonais pour contourner le problème. Entre ses mots pointe un sentiment, au moins un intérêt, que je n’ai pas vu souvent chez Audrey.
Va-t-elle partir, elle aussi?
(Sous-entendu: et moi? et moi?)
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