lundi

Au Louvre, juste pour regarder les touristes, leur air béat d’être à Paris, en vacances. Deux Italiens me branchent, ils cherchent un restau typique. Je leur indique Le Pied de Cochon. Je n’ai pas envie. Je ne me retiens pas de pleurer sur le chemin du retour.

Dans une rame de métro, les gens sont des squelettes comme passés aux rayons X. Le conducteur annonce qu’on va être bloqués un moment entre les deux stations. Pour éviter cela, je saute en marche. Je me retrouve dans une grotte scabreuse, spacieuse, obscure, l’air est saturé en poussière. Au-dessus de moi, une grille qui doit donner dans la rue. Je suis sauvée.

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