lundi

Ensuite

Carole s’en va.
C’est toujours ça.
(Rimes pauvres pour une pauvre vie.)

D’abord un pot à Method, pour le départ de certains – dont Nana. Difficile de le boycotter, et de toute façon, en dix minutes, et trois flûtes, je suis pétée. Ça se poursuivit en effectif réduit et beaucoup plus hardcore dans une sorte de rade clandestin (un appart sur le boulevard Saint-Michel) technoïde, puis dans un autre de filles, rue Keller. Je suis maintenant beurrée comme un petit Lu. Béa me vole mon portable car je menace d’appeler Rob pour l’insulter. Et : d’appeler mon père pour l’insulter. Nana fait tourner des traits. On va ainsi jusqu’au matin et quand je me réveille, je suis à moitié nue sur un canapé et y a quatre autres filles, dont Nana, qui roupillent autour de moi toutes plus ou moins à poil. Je ne me souviens de rien, je ne sais même pas où je suis.
L’option croissant-aspirine n’est pas comprise, je saute dans mes Marc, je me casse de là sans connaître la fin de l’histoire.

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