Il ne faut pas que je m’emballe. S’ils ont décidé de ne laisser partir que les plus de 40 ans, je vais encore me retrouver à couvrir les miroirs pour une semaine et à pleurer sur ma misérable vie entre deux joints. Moyen.
Mais ça n’arrivera pas. En fait, ça ne peut pas arriver. Mathématiquement, je veux dire. On ne peut pas être au point mort pendant des années, accumuler des galères quotidiennes, sans à un moment ou à un autre voir le bout du tunnel (la sortie de secours, le soleil à l’horizon, la face éclairée de la Lune).
Pour être sûre, je vais quand même dire à Maman qu’elle demande à sa copine corse de me signer l’œil.
Voire : Téléphoner à Hélène, la copine de Laure marabouteuse du XVIe (dans son lot de baguettes magiques, elle en aura bien une capable de me délocker l’exit).
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