Soirée mensuelle de Natacha, avec l’aide d’un exta. En taxi – pour une fois, la chance tourne méchamment – sans Rire et Chansons, et sans bavardage. Ça faisait bien deux ans que je n’y étais pas allée. J’y ai retrouvé une Natacha épaissie par l’alcool et la même ambiance tamisée ultramoderne, pas sensuel pour une cacahuète. Ils sont sept, notre hôtesse comprise, quand j’arrive (très en retard et en pleine montée). Une grande très blonde, sorte de planche à pain norvégienne est à genoux devant un chauve version Mister Clean (même le T-shirt blanc), son sexe en main et en bouche. Une brunette look lesbien, un bracelet tribal très dark encerclant un bras, lui roule des pelles et la tripote. Mon corps a déjà pris le relais de mon cerveau et je viens vers eux en nuisette et boxer transparent noir. Je vais brouter, sucer, caresser, m’empaler.
Quand on baise on ne pense pas.
C’est ce que je vais faire : ne plus penser à rien.
When the world is running down
You make the best of what's still around
When the world is running down
You make the best of what's still around
Sting When the World Is Running Down
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